Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, Une collègue m’a transmis cette si belle et profonde pensée du philosophe Saint-Augustin qui, à mon sens, parle d’elle-même: « Tu n’es plus là où tu étais, mais tu es maintenant partout où nous sommes »…, C’est exactement ce que je ressens depuis le décès de mon père voilà 2 ans. Je vous embrasse. Quoi, tu m’as vu, tu m’as aimé dans le pays des ombres Tous les remèdes vains exaspèrent mon mal, TOP 10 des citations la vie et la mort (de célébrités, de films ou d'internautes) et proverbes la vie et la mort classés par auteur, thématique, nationalité et par culture. Quand je l’ai comprise et sentie, Mon corps s’en va descendre où tout se désassemble. Le départ est inévitable donc pourquoi faire comme si cela n’existait pas ? Un message pour lui :  » Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai… » Qu'elle martyrisait à plaisir sa mémoire Et sanglote aujourd’hui mon désespoir final. N’employez pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel ou triste. Une proie à saisir sous son vol effréné ! Et vous, quelles sont les poèmes ou les textes qui vous touchent ? dans de telles ciconstances ,mon très cher fils , a tirer sa révérence au mois de juin ,je n’ai rien vu ,infirmier ,et Viendra ranimer, fidèle et joyeux, Ils rappellent des souvenirs, donnent de l’espoir ou décrivent des émotions ressenties. Il me manque terriblement. Dans mon coeur et ma tête tes empreintes indélébiles. On a beau se détacher, on vit toujours de la vie, et non de la mort. Je lui avais répondu que je ne savais pas si j’en aurai la force. « A ceux que j’aime et qui m’aiment » Quel beau texte! Ces textes philosophiques engendrent tous les sentiments tragiques de douleur et de peine à lire et à partager lors d'un décès d'une personne proche, la mort d'une mère ou d'un père ou lors d'une simple pensée après le décès d'un(e) ami(e). Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux. Florilège de poèmes pour exprimer notre chagrin et honorer la mémoire de nos disparus lors des cérémonies d’obsèques. Récompenses de nos efforts et nos espoirs. Le hibou parmi les décombres On marche, on court, on rêve, on souffre, on penche, on tombe, Il avait 54 ans. Ne sommes-nous pas fous de nous faire la guerre, Tandis qu’enfants dans l’âme et liés par le cœur, Nous devrions, heureux, chanter d’un même Chœur, Qu’il n’est de possession digne de persister, Parmi les astres d’or par Dieu partout semés, D’une main débonnaire en ces champs d’innocence. Participez dans les commentaires, nous ajouterons votre contribution. La nature est tout ce qu’on voit, Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime. Me voici face à face inexorablement Sans voir la main d’où tombe à notre âme méchante Donnez- moi le nom que vous m’avez toujours donné Parlez- moi comme vous l’avez toujours fait Ne changez rien Ses pétales s’étalent sur le blanc névé. Nous étions très fusionnelles et amoureux. On se rue aux plaisirs, aux tourbillons, aux fêtes ; On tâche d’oublier le bas, la fin, l’écueil, Nora o’HAN, J’ai perdu ma maman et mon époux à 10 jours d’intervalle au mois de juin 2014 . Il allait avoir 25 ans le 22 décembre. . Une souffrance infernale ! Courage à vous, il est encore tôt pour laisser les larmes se tarir, Laissez cette fontaine intérieure couler pour laver et protéger la blessure de votre psychisme profondément déchiré. Charles Baudelaire (1821-1867)Les Fleurs du Mal, Le soir, au coin du feu, j’ai pensé bien des fois, Ca va faire 8 mois. On ne les oublie pas » on les aime trop » tous »’ on habitue’ ‘à leur ombre, je sais ce que vous vivez la mort m’a arraché aussi mon fils unique de 24 ans le 28 octobre 2015 depuis je survie que faire d’autre c’est tellement douloureux alors je vis à travers lui je fais des choses toujours en fonction de mon fils guillaume je vais tous les jours me recueillir sur sa tombe j’en ai besoin c’est vital je lui parle sachant très bien qu’il ne me répondra pas et je pleure je ne fais que ça a longueur de journée mon fils c’était toute ma vie et moi ma vie s’est arrêtée le mercredi 28 octobre 2015, bonsoir madame je suis de tout coeur avec vous quel tristesse pour vous d avoir perdu votre fils j ai un fils unique aussi je vous comprend enormement madame je vous souhaite bcp de courage je viens de perdre mon papa une douleur atroce bizous a vous, Bonsoir Tellement mal !! Aux gens que l'on aiment et qui nous aime. Je lui avais promis que je lirai un texte lors de ses obsèques, à l’église. on ne se remet jamais surtout pour une maman. Et peigner sans rien dire un reflet d'incendie. Dans le gazon d’avril où nous irons courir. Pleurons nos chers disparus ne l’ai oublions pas . Un jour peut-être, le silence et la solitude me permettront de te sourire à nouveau avec douceur et tendresse. Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Usant à l’envie leurs chaleurs dernières, Laissez-moi partir Je me demande pourquoi je dois souffrir comme ça alors que je n’ai rien fait. C’est la finitude qui donne aux choses leur aspect précieux. Sur mon visage, sur celui de mes fils, tes sourcils, ta bouche, ton nez, tes oreilles. Puis, fouetté par l’Orgueil dont le zèle humilie, J’aurais dit au Mépris : « Essuie-toi sur mon front, Comme le soulier crotté le fait d’un paillasson… », Mais voila, rien ne sert de remonter le cours, Du temps qui s’avançant fait s’écrouler les tours. La mort n’est point notre issue, Car plus grand que nous Est notre désir, lequel rejoint Celui du Commencement, Désir de vie. Les miroirs ternis et les flammes mortes. Le deuil : un long chemin de « retour à la vie », Colère, culpabilité : les émotions du deuil, Les principales idées reçues sur le deuil, La nuit n’est jamais complète. J’imagine que rien n’est pire que la perte d’un enfant, et je voudrais vous envoyer un message de soutien et de fraternité. Ces paroles résonnent vraiment en moi Et laissez les autres parler. Que vêt le beau costume ou l’affreuse guenille ? Ici-bas ont tout ignoré. Merci pour ces poèmes. Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours. Si vous etais en couple alors profiter de chanque instant que vous passer ensemble…. Tout cela pour vous dire que le poème « je suis de l’autre côté du chemin » m’a rappelé son état d’esprit. Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait. 7 magnifiques poèmes sur la mort d'un être cher - Les mots du deuil. Cette douleur me consume, j ai beau rire mais au fond de moi j ai mal je me suis pas préparé a ca a ne plus te voir a ne plus t entendre dire je suis plus beau que toi et moi je t repondai oui tu est le plus beau mais dans tes reves. infidèle aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie, Marie. Mais j’ai perdu une partie de moi-même et je trouve cela tellement dur. bon courage à tout le monde, j’ai perdu ma fille et mon mari dans un accident de voiture voilà 3 ans et4 mois après ma maman m’a également quitté je me demande encore maintenant comment je peux survivre à cela des jours ou je voudrais partir aussi cela serrait plus facile que de vivre avec la souffrance au cœur. Vivre, … JE VOUS SOUHAITE D’ËTRE BIEN ENTOURéE ET DE FAIRE DE BELLES RENCONTRES ET DE GARDER ESPOIR, faites-vous aider par un bon psychologue spécialisé dans le deuil , c’est beaucoup beaucoup ce que vous avez subi. Il faut forger sa vie avec les outils qu’on a en soi. Chantal. Les morts. Un homme comme lui il n’y a pas 2 sur cette terre. Et l’été qui s’enfuit est un ami qui part. Je suis comme vous je réalise que j attends toujours, mon petit ami est mort subitement. Après vous avoir proposé notre sélection des plus belles chansons françaises sur la perte d’un être cher, voici quelques poèmes que vous pouvez lire lors des obsèques ou tout simplement,  pour vous offrir un peu de réconfort. le poème amérindien à ceux qui m’aiment et que j’aime correspond tout à fait à ce qu’aurait dit mon fiancé parti ce 12 mars d’une crise cardiaque brutale .Comme vous je suis perdu sans lui ,comme vous mon cœur souffre ,il me manque tellement ,nous étions si amoureux ,si bien ensemble .je suis croyante et je me rattache à cela se retrouver quand dieu le voudra .le plus dur est l’absence ,ne plus sentir ses bras qui me serraient me manquent énormément .courage à tous et merci d’avoir écrit de si joli poème qui apaise nos douleurs. Benoît Marchon (1950)Recueil non renseigné, Depuis ton départ Se sont des sentiments si dur et si profond que l’on ressent, c est pour cela que je tenais à saluer votre courage et votre sincérité dans votre témoignage, vous avez su mettre les mots. Je suis moi. « Aimez ce que jamais on ne verra deux fois », écrivait Vigny. Considérez que c’est un cadeau qu’il vous a laissé pour que vous puissiez continuer à vivre. Bon courage. Vous ne pouvez que deviner L’automne est morte souviens-t’en Pour nous aider et/ou pour le plaisir, acheter ce recueil de Stéphen Moysan. je pleure mais j’espère aussi …. L’amour ne s’éteint jamais. Maintenant, il est temps pour moi de voyager seul. Innommable ! Si vous en ressentez le besoin n’hésitez pas également à venir échanger avec d’autres personnes qui vivent la perte et qui pourront vous soutenir sur le long terme sur le forum d’entraide : http://forumdeuil.comemo.org/ Paul Eluard, Beaux textes, citations, poèmes et hommages sur le deuil et la mort, http://brunosantraine.canalblog.com/archives/2015/06/08/32186760.html, http://brunosantraine2.canalblog.com/archives/2015/06/28/32283632.html. je suis seulement passé, dans la pièce à côté. Qui réfléchiront leurs doubles lumières Pour comprendre ce que l’un et l’autre pensaient. Je suis l’étoile qui brille dans la nuit ! Merci s’est un beau poème d’espoir. ton âme viendra dans ce ciel où l’a précédée la mienne, Inonde la terre de ton âme si pure. Depuis, pour l’extérieur je porte un masque pour faire croire que tout va bien mais à l’intérieur de mon cœur, c’est un champ de ruines. Juste une petite erreur dans le poème « L’adieu” de Guillaume Apollinaire : il manque NOUS dans le troisième vers « nous ne NOUS verrons plus » pour faire les 8 pieds et surtout faire sens. On est l’homme mauvais que je suis, que vous êtes ; Je ne sais pas pourquoi Dieu m’inflige toute cette souffrance et pourquoi il me prend tout depuis 2 ans… D’abor nos enfants et maintenant lui. Les rais d’un bel Azur aux couleurs d’améthyste ! Nous étions si bien et heureux dans cet appartement. Rita Moran, C’est dur de perdre un enfant, mais on arrive au monde avec un laps de temps dont on ne connaît pas la durée, on est mortel à tout moment, ce n’est pas le nombre d’années qui s’affichent au compteur de la vie qui donne la qualité mais plutôt avoir donné de la vie à ses années et de l’amour restent l’essentiel d’une vie, dites vous que vos enfants ont reçu de l’amour grâce à vous et ils vous en ont donné et cet amour, la mort ne peut pas le détruire, c’est lui qui va vous porter jusqu’au moment de votre départ, cet amour ou ce fil d’Ariane qui nous relie à nos enfants depuis leur premier cri, est indestructible, laissez votre coeur vous parler et leurs messages d’amour vous apaiser … Ces poèmes aident quand c’est trop dur, ne vous fermez pas à la vie et ne fermez pas votre coeur, laissez la vie l’irriguer encore, ne faîtes pas le contraire de ce que vos enfants vous disent : « Ne pleure plus Maman, tant que je reste dans ton coeur, je vis pour toujours, la mort c’est quand on ne prononce plus ton prénom, ou qu’on ne se souvient plus des gens qu’on a aimé ou connu » Bon courage, je suis de tout coeur avec vous Pacou.